Lily-Rose Volturi

VOTRE PERSONNAGE

I/ Fiche d'identité.

Nom : Volturi
Prénom :Lily-Rose
Age :35 ans, 15 ans en apparence
Nationalité : Canadienne
Lieu de naissance : Colombie-Britanique
Groupe : Vampire
Relations : Les Volturis et les épouses.

II/ Caractère et Physique.

Caractère [10 lignes minimum]

Lily-Rose est ce qu'on appel un coquille vide. Elle est toujours calme et silencieuse. Jamais elle ne parle si ce n'est pas nécessaire, elle se contente de répondre au question lorsqu'on les poses, rien de plus, rien de moins. Elle est tellement facile à manipuler que ça en devient drôle. Elle semble porter le poids du monde sur ses frêles épaules et encaisse tout sans se plaindre de rien. Elle est quelqu'un de particulièrement doux et elle déteste toute marque de violence, que fait-elle chez les Volturi? Et Bien...Lily-Rose est également quelqu'un qui à le sens du devoirs et elle a l'impression qu'elle n'a aucune autre solution que de donner sa vie à l'homme qui lui a donner l'immortalité. La petite est également très mélancolique, elle passe son temps dans ses souvenirs, qui ne semble pas vouloir s'effacer avec le temps qui passe. En fait, Lily-Rose n'a pas vraiment de personnalité, étant détruite depuis son plus jeune âge. Comment faire autrement? elle calque donc ce qu'elle voit, comme une enfant de trois ans qui imite sa mère. Elle prend donc exemple sur les gens qui sont estimer par les grands. Elle n'aime pas fréquenter les lieux trop bruyants, préférant les endroits ou l'air circule librement, loin des beuveries des étudiants et des odeurs désagréables, allongé dans l'herbe fraiche à regarder le ciel. Lily ne sait ni mentir, ni se montrer cruelle mais elle obéit point à la ligne. Si on lui demande de tuer, elle tue. C'est aussi simple que ça. Pourtant, l'adolescente ne réagi à rien, ni au provocation ni au menace. Elle est impassible, inerte....Elle ne demande qu'a`e^tre guider, cependant personne ne semble vouloir la guider dans le bon sens.

Manies: Se mordre des lèvres.
Phobies : Les espaces clos.
Description physique et vestimentaire : Un ange tomber droit du ciel. C'est ce à quoi ressemble Lily. Une fragilité déconcertante et une grâce immence. Sa taille est si gracile qu'on à l'impression qu'elle risque de se casser à chaque pas, à chaque mouvement. La gamine mesure a peine 1m48. Son visage est encore enfantin, ses traits ressemblent de près à une poupée de porcelaine cassable ou encore à un enfant innocent. Comme tout le vampire, sa peau est d'une blancheur de craie, sans imperfection. Elle est d'une beauté envoutante. Ses yeux en amandes sont étrange pour un vampire. Ils restent d'une bleu argenté lorsqu'elle n'a pas soif et devint d'une bleu nuit lorsqu'elle à soif. L'orrigine de ses yeux? C'est un mystère que ses suppérieurs tente de percer avec bien du mal. Ils brillent d'une mélancolie et d'un mal être poignant. Côté vestimentaire...et bien à telle le choix? Elle est toujours revêtit des couleurs sombres de Volturi, bien qu'à l'extérieur, elle a un penchant pour les couleurs clairs.

III/ Histoire du personnage.

Avant votre transformation [10 lignes minimum] : Lily-Rose est née il a de cela 35 ans. Elle est la fille d'un riche diplomate, marié et ayant 4 enfants et d'une pauvre femme de ménage sans le sous. Sa mère, Meg, travaillait dans l'immense maison des Smith. Au grand jamais, Mr Smith et Meg n'aurait dû se rencontrer, et encore moins procréés. Mais le monsieur en question, dont Lily ne connait pas le nom, avait plusieurs maîtresse et la femme de ménage en était une parmi tant d'autre. Cependant, elle à été la seule à mettre au monde un enfant. Lorsqu'il le su, l'homme en question mit Meg à la porte, disant à sa femme qu'elle lui avait voler sa montre en or. Pure invention....qui fonctionna sans mal.

Meg mit au monde une petite fille quelques mois plus tard. Si la femme avait aimer son amant, jamais elle n'aima sa fille. Après tout, c'était de sa faute si son amant l'avait mise à la porte. Pourtant, jamais Lily-Rose ne manqua de quoi que se soit. Meg laissait sa fille hurlée au milieu de la nuit, la laissait se balader tout près des voitures, et ne la surveillait que rarement. Après tout, que cela pouvait-il faire si le poupon jouait avec des objets tranchant dans la cuisine? Elle pouvait bien se tuer elle-même, les accidents ménagés arrivent si souvent! Et puis, ne l'oublions pas, la petite avait détruit le semblant de vie de sa mère.

L'enfant grandit néanmoins. Bientot, elle fut la victime des divers copains de sa mère. Agression par dessus agression, coup après coup... Jamais l'enfant ne se plaignit...jusqu'à ce soit là...

Votre transformation [10 lignes minimum] :

La lune était haute dans le ciel. Les nuages la couvrait par intermitance et l'air était glaciale. Lily-Rose dormait pasiblement dans sa chambre, blottis contre ses oreillers et ensevelit sous une couverture ayant vu de meilleurs jours. Bientot, un bruit de pas la réveilla et elle se redressa. Un homme se tenait dans sa chambre, un homme étrange. Il s'approcha d'elle et la porte se referma dans un bruit sourd.

" Reste sage, ma jolie."

Cette voix, jamais la petite ne pourrait l'oublier. Si douceureuse, si sauvage et tellement sure d'elle. Lily-Rose ne pu faire autre chose que de se tapir dans son coin, terroriser. Le matelas s'affaissa a peine sous le poids de l'étranger. Ses mains baladeuses grimpèrent et alors que la jeune fille s'attendait au pire, il se pencha sur elle, ses dent mordant sa chair tout près de son corps. La douleur fut si vive, qu'elle ne pu retenir un hurlement de douleur alors que le venin s'infiltrait dans ses veines délicieuses pour la transformée à jamais. Faire d'elle, se qu'elle ne croyait pas possible.

Votre vie d'après la transformation [10 lignes minimum] : Lorsqu'elle se réveilla, il lui fallu un moment pour comprendre. On lui expliqua ce qu'elle était devenu, le pourquoi du comment. L'homme, le vampire, avait tuer sa mère. Jamais, elle ne sut la vrai raison. Alors que Lily s'habituait a son nouveau statu, on lui expliqua certaine chose. Elle était désormais une Volturi. L'homme qui l'avait transformée se nommait Caïus et elle, jolie petite poupée de porcelaine, était son oeuvre, jolie et gracile tout en étant puissante. Car au fils de mois l'adolescente se développa un don des plus....délicieux. Celui de faire vivre chaque peur à son adversaire, d'une façon des plus réelle et des plus délectables. Mais jamais Lily-Rose ne s'habitua a une telle....terreur dans les yeux de ses adversaires. Terreur qui rappelait sans cesse la brûlure dans sa gorge à chaque heure du jour. Mais elle ne pouvait se défiler. Parce qu'elle était la petite protégée du grand Caius, comme Jane et Alec étaient les trésors chéris d'Aro. Que pouvait-elle y faire....sinon s'adapter? Cependant, Lily-Rose est bien différente de ces coéquipiers, elle ne comprend pas pourquoi ils doivent être aussi méchant, pourquoi elle doit se montrer si sans pitiée. Mais ne l'oublions pas, l'adolescente est une coquille vide, habituer a obéir sans poser la moindre question.

IV/ Fiche du Joeur.

Prénom/Surnom : Kiwi
Age : 18 ans
Fréquence de connexion : tout les jours...lorsque j'aurai un ordinateur!

Test RPG Alors que ma chère mère discutait joyeusement avec la femme qui m'avait accueillit sous son toit pendant tant d'année, moi je reprenais mon quart de travail. Narcissa, cette femme qui n'avait pas vraiment eu à cœur mon éducation, simplement parce que celle que j'avais reçu était déjà fort différente de celle de son gamin arrogant! Je n'avais jamais eu d'attachement pour cette famille, pourtant, j'avais du y vivre. Cela avait été un vrai supplice, mais je ne m'en étais pas plainte. De toute façon, a quoi cela aurait servit? À très peu de chose j'en doute! J'avais toujours cette manie, qui me venait de je-ne-sais-où, de toujours remuer le passer. Quoi que, d'un autre côté, l'homme vivait rarement dans l'instant présent. Pourtant, je savais qu'avec le temps, je ferai une croix sur cette enfance qui aurait pu être tout autre. Je soupirai puis sourie amèrement. Un jour ou l'autre, on fini par comprend que la douleur s'évapore, avec le temps. Oui, le temps faisait bien des choses! De toute façon, je m'en étais plutôt bien sortit non? J'étais surement mieux que Malefoy Miniature!

Ce n'était que quelques heures plus tard, terminant de travailler, que j'avais reçu le message, avant même t'atteindre le manoir Lestrange. Un homme, un peu bizarre sur les bords, avait récité son court, mais au combien clair message. Cet homme qui m'avait d'abord parut comme un idiot sans cervelle, mais maintenant que j'ai cessé de mon poser toute question sur cet homme, je m'en posais davantage sur ce mystérieux inconnu auquel il avait fait référence. Sans savoir ce que je trouverai là-bas, dans ce manoir lugubre à l’air de mort, je pris quelques minutes à faire mon choix. Oh oui! Je brulais de curiosité, mais j'étais prudente. Enfin...juste un peu! Bien entendu, j'étais loin de m'imaginer que quelqu'un prendrait la place de ce Lord Voldemort aussi rapidement, mais je m'étais tromper. Maintenant, je devrais faire face a ce....Lord Machin. Encore un nom bidon et stupide à me rappeler! Malgré mes diverses résistances, j'avais décidé d'aller y jeter un coup d'œil.

Transplanant devant le manoir Jedusor, je ne pouvais que me dire que ce n’était pas une idée aussi brillante que ça en avait l’air de venir ici, ce soir. Je n’avais pas peur, mais je n’étais pas rassurée pour autant. Mais je le faisais tout de même, parce que c’était à cela que m’avait préparé mes parents. À servir un monstre. Ou du moins, un homme avec des airs de monstre! Je n’avais jamais été au réel service de Jedusor, mais j’avais fais mes preuves. Quelques missions par-ci par-là, toute réussis, enfin, presque! Mais je n’avais jamais reçu la marque des Ténèbres. Peut-être parce l’homme que ma mère aimait tant était mort avant de me marquer. Étrangement, je n’avais aucun regret sur cela. Au moins, personne ne pourrait croire que j’étais l’une des meurtriers sanguinaire de Voldemort. Enfin, J’imaginais, puisque mon simple nom pouvait dire le contraire. Levant les yeux vers le manoir sombre aux allures de manoir hanté, je ne pu m’empêcher de sourire froidement. Et dire que cet endroit avait été la scène de meurtre. Tout était possible, non? Et puis cet endroit avait le profil de l’emploi. Effrayant et morbide. De toute évidence, personne de censé n’y mettrait les pieds. Mais qui avait dit que j’étais censé?

Gravitant les marches une à une, je ne pu m’empêche de songer au nombre de personne qui les avaient foulé avec autant de crainte et de peur que d’honneur et de fierté. Chacune de ces marches usées par le temps avaient une histoire inconnue pour moi. Cela m’était égal. Enfin… ça m’importait peu et ne me concernait certes pas. Une moue se dessina sur mon visage. Je n’étais plus certaine que j’avais fais le bon choix… Je pourrai toujours changer d’avis, n’est-ce pas? Je trouvais ridicule de passer ma vie entière à servir quelqu’un, quelqu’un qui aurait un pouvoir effrayant sur chacun des mes choix, sur ma vie. Qui, dès je m’opposerai à lui, n’hésitera pas à me torturer, à me tuer. Je savais parfaitement que me présenter là, ce soir ferai de moi un pantin. Un jouet que cet homme pourrait manipuler à sa guise sans que je puisse prononcer deux mots. Et on disait que j’étais manipulatrice? J’étais un ange à côté de cet homme là, je ne l’avais pas vu et je pouvais déjà l’affirmer. Chaque homme qui se prend pour le maître du monde, ou qui souhaite le devenir était tous pareille. Identique en tout point. Et ça me dégoutait légèrement.

Lorsque je fus au sommet de l’escalier, une voix me parvint. Une voix connu, une voix que même parmi cent autres, je la reconnaîtrais. Un sourire en coin naquit sur mes lèvres et je poussai finalement la porte. Devant moi, ce dressait un fauteuil qui me faisait dos. Ma chère maman se dressait à côté, imposante, comme toujours. Je m’approchai silencieusement, m’arrêtant à quelques pas d’elle. Sa question avait un sens étonnant pour une femme qui a perdu la raison, enfin c'était ce que certain prétendait. Pour moi, elle était égale à elle-même. Croisant mes bras sur ma poitrine, la tête légèrement penché sur la droite, dévoilant la courbe gracieuse de mon cou, je les fixais tour à tour, mi-amusée, mi-intriguée. Je ne pouvais voir qui était assis dans le fauteuil, mais il semblait fortement imposant. Un frisson glacé parcourut mon échine, un frisson si familier… Puis je me décidai enfin à sortir de l’ombre.

« Voilà une question fort pertinente, mère. » Murmurai-je assez fort pour qu’elle puisse m’entendre.

Je fis quelques pas de plus, pour me place un pas derrière elle. Déplorant de ne pas pouvoir, de cet endroit, voir le visage du nouveau Seigneur des Ténèbres. Tournant légèrement la tête pour avoir une court contact visuel avec ma mère, puis détourna les yeux pour les posées sur le dossier qui s’offrait à moi. Un sourire sadique peignit mes traits.

« Alors…comment devons-nous vous appeler? Seigneur? Maître? Sa Majesté? Avouez que cela serais original, n’est-ce pas? »

Cette fois, ce n’était pas un murmure, ma voix avait claqué, froide, avec une ironie détectable. Je n'avais pas peur de recevoir le châtiment que mon impolitesse m'attirais peut-être

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